Certains le savent, j'ai trouvé ma nouvelle Maserati au nord de l'Allemagne.
Mercredi, réveil matinal, puis direction l'aéroport pour un vol direct et rapide jusqu'à Düsseldorf. A l'arrivée, personne. :| Misère, il va falloir que j'appelle en allemand, Kicko répond "funf minuten !". Précision germanique admirable, cinq minutes après, mon taxi arrive effectivement. Maserati GranCabrio flambant neuf, noire, intérieur cuir cartier.
Les 90 km jusqu'à la concession de Dortmund s'annoncent bien. Ils le seront ! 8-) Direction l'autobahn, le 4.7L, en mode sport, chante en V8 majeur. Superbe. Le moteur résonne dans les graves entre 3 et 4000 Tr/mn. Il explose à 5000, sublime. C'est le point fort de ce cabrio avec sa capote doublée en alcantara qui reste parfaitement étanche jusqu'à 180 km/h. Au delà, on entend le vent entrer. A l'intérieur on retrouve l'ambiance du Granturismo, dont je ne suis pas fan, avec tous ses petits boutons mais aussi son grand écran multimédia avec GPS 3D qui est très agréable. Sur le trajet, le gros défaut du GranCabrio saute rapidement aux yeux, enfin plutôt aux fesses et au dos avec ses sièges dignes des bancs d'école en bois.
A l'arrivée, elle est là. Elle est exposée en star au milieu du showroom. Difficile de ne pas craquer tout de suite. En vérité, il m'a fallu à peu près 100 ms (le temps d'un changement de rapport ) pour me décider. Après un contrôle exhaustif du véhicule, je suis conquis et après un essai en dynamique, je signe les papiers.
Il ne reste plus qu'à rentrer à la maison. Galère, 960 km ! Mais non !!! 960 km de plaisir, de bonheur, d'éclats de rire, de "oh put*** !", de "whouhaou, c'est boooooooon". Incroyable, extraordinaire. En sortie de péage, on retrouve les sensations d'une moto avec les montées en régime fulgurantes et les accélérations dantesques.
Le son du V8 est magique tout simplement.
Allez, je raconterai la suite plus tard.
Quelques photos pour donner envie !
Stéphane
Mercredi, réveil matinal, puis direction l'aéroport pour un vol direct et rapide jusqu'à Düsseldorf. A l'arrivée, personne. :| Misère, il va falloir que j'appelle en allemand, Kicko répond "funf minuten !". Précision germanique admirable, cinq minutes après, mon taxi arrive effectivement. Maserati GranCabrio flambant neuf, noire, intérieur cuir cartier.
Les 90 km jusqu'à la concession de Dortmund s'annoncent bien. Ils le seront ! 8-) Direction l'autobahn, le 4.7L, en mode sport, chante en V8 majeur. Superbe. Le moteur résonne dans les graves entre 3 et 4000 Tr/mn. Il explose à 5000, sublime. C'est le point fort de ce cabrio avec sa capote doublée en alcantara qui reste parfaitement étanche jusqu'à 180 km/h. Au delà, on entend le vent entrer. A l'intérieur on retrouve l'ambiance du Granturismo, dont je ne suis pas fan, avec tous ses petits boutons mais aussi son grand écran multimédia avec GPS 3D qui est très agréable. Sur le trajet, le gros défaut du GranCabrio saute rapidement aux yeux, enfin plutôt aux fesses et au dos avec ses sièges dignes des bancs d'école en bois.
A l'arrivée, elle est là. Elle est exposée en star au milieu du showroom. Difficile de ne pas craquer tout de suite. En vérité, il m'a fallu à peu près 100 ms (le temps d'un changement de rapport ) pour me décider. Après un contrôle exhaustif du véhicule, je suis conquis et après un essai en dynamique, je signe les papiers.
Il ne reste plus qu'à rentrer à la maison. Galère, 960 km ! Mais non !!! 960 km de plaisir, de bonheur, d'éclats de rire, de "oh put*** !", de "whouhaou, c'est boooooooon". Incroyable, extraordinaire. En sortie de péage, on retrouve les sensations d'une moto avec les montées en régime fulgurantes et les accélérations dantesques.
Le son du V8 est magique tout simplement.
Allez, je raconterai la suite plus tard.
Quelques photos pour donner envie !
Stéphane